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Photographe de films : un métier

 

Le besoin et l’utilisation des photographies

 

Le travail du photographe sur un tournage

 

Qu’est-ce qu’un Blimp ?

 

Le passage du support argentique au support numérique

 

Photographies VS Photogrammes

 

 

Workflow du photographe

 

Réaliser les prises de vues dans le respect du ton du film souhaité par le chef opérateur et le cinéaste.
Décharger les cartes mémoires des fichiers Raw et/ou Jpeg sur l’ordinateur.

Editer : rejeter les photos disgracieuses.

Renommer les fichiers selon la chronologie du tournage et pour éviter les doublons (qui sont possibles lorsqu’on travaille avec plusieurs boîtiers).

Présélectionner un choix assez large de bonnes photos à présenter pour les validations. Ce choix doit permettre d’avoir un bon choix d’images validées après le processus de « killing » des acteurs.

Développer : traitement basique des fichiers (Raw ou Jpeg) qui équivaut aux épreuves de lecture en argentique.

Sauvegarder les données sur un ou plusieurs disques durs de Back-Up fournis par la production.

 

Ce travail sur ordinateur demande au minimum 1 journée pour 4 jours de tournage, soit 2 heures par jour de prise de vue.

Les fichiers des boîtiers professionnels utilisés pèsent lourd et le temps de calcul des ordinateurs, même performants, est incompressible.

 

Chaque photographe ayant sa propre méthodologie, il est bon de se mettre d’accord en amont sur le workflow spécifique à chaque production de film, l’enveloppe « labo argentique» s’étant déplacée en partie, ou en totalité, sur le poste du photographe.

 

 

Post-production

 

 

Toute reproduction, représentation ou usage même partiel des photographies sans l’autorisation de l’auteur, des ayants-droits ou ayants-cause est interdite.

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